Dès l’aube de l’humanité que l’homme a eu besoin de se déplacer d’un coin à l’autre du monde. C’est un phénomène qui a accompagné l’homme à travers les temps. Au 21ème siècle, ce phénomène continue. Tous les jours, nous lisons ou nous écoutons des nouvelles qui nous traduisent le désespoir des personnes qui risquent leur vie à cause d’un rêve. Et la plupart meurt avant de voir ces rêves réalisés. C’est ce qu’on appelle l’émigration clandestine. Et ce sont les plus pauvres qui risquent tout. Les autres, surtout les européens ont toujours la chance de trouver un boulot dans un autre pays hors des frontières qui l’ont vu naître. Et c’est parce que les frontières n’existent plus. Mais, il faut faire attention parce que même ceux-ci ont vécu de vrais cauchemars. Tout dépend des personnes que les émigrants ont la chance ou la malchance de trouver dans leur vie. Tout le monde a déjà entendu parler des émigrants qui ont été privés de tous leurs droits quand ils pensaient qu’ils avaient réussi à trouver un boulot qui leur donnerait la chance d’avoir une vie plus agréable dans ce pays étranger (où on parle une langue qu’ils n’ont pas appris et ne connaissent pas) et ils découvrent que ce pays les accueille, parfois, comme des esclaves (ils y sont envisagés seulement comme main d’œuvre et pas plus) et où ils ne sont pas connus qu’à travers le métier qu’ils ont. Les personnes (l’être humain) en est beaucoup plus. Quand quelqu’un entre dans une boutique, ils ne savent rien de la personne qui les accueille et il faut faire autrement. Il faut connaître les personnes qui y travaillent. Il faut poser des questions, s’intéresser, penser… à ces êtres humains pour mieux les connaître et pour les aider si c’est le cas...
Le Luxembourg, ce petit pays au cœur de l’Europe, est, apparemment, un cas de succès où l’intégration se fait sans aucune difficulté. Les luxembourgeois semblent être des citoyens qui acceptent bien les étrangers et leur donnent l’opportunité dont ils ont tellement besoin.
L’idéal ? Chaque pays devrait donner de bonnes conditions à ces citoyens pour qu’ils ne se voient plus obligés à une émigration forcée. Mais en attendant ce miracle, il faut être patient et essayer d’accueillir les autres de la même façon dont nous voudrions être accueillis.
C’est ce qui rend différent la société humaine des animaux sauvages. C’est ce que les personnes de bonne volonté veulent pour tout le monde.
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